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NOIR DE BOUE ET D'OBUS, Choregraphie Chantal Loial, Assistante choregraphique Julie Sicher, Creation sonore Pierre Boscheron, Creation lumiere Stephane Bottard, Costumes Michele Sicher au MPAA le 1 mars 2014.
Avec : Mariama Diedhiou, Louise Crivellaro, Alseye N'Dao, Julie Sicher
(photo by Patrick Berger)

A âmes égales de Chantal Loïal

Une création de Chantal Loïal
Assistante chorégraphique : Julie Sicher
Collaboration artistique : Delphine Bachacou et Delphine Caron
Création sonore : Pierre Boscheron avec la collaboration de Anildo Silva et Jacques de Lamare
Création lumière et vidéo : Stéphane Bottard
Costumes : Michèle Sicher et Emmanuelle Bredoux
Réalisateur : Greg Germain
Production : Marie-Pierre Bousquet
2018 – 60mn – Français
Interprètes : Régis Tsoumbou Bakana, Ibrahima Diakite, Julie Sicher, Mariama Diedhiou, Jean-Philippe Costes-Muscat, Delphine Bachacou, Louise Crivellaro (en alternance)

Texte : extrait de Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline © Editions Gallimard

Coproduction: Compagnie Difé Kako

C’est l’histoire d’une rencontre improbable quelque part dans l’Est de la France, quelque part entre 1914 et 1918, une rencontre entre des gens comme tout le monde, qui n’avaient rien à faire là, rien à faire ensemble et que tout opposait. Conscrit français, tirailleur sénégalais, volontaire des Antilles et de la Guyane, un adversaire les réunit. Est-ce l’Autre, l’Ennemi ? Est-ce la Nation, qui les a conduits dans ces tranchées putrides ? Est-ce l’état-major qui les y maintient coûte que coûte ?

N’est-ce pas plutôt la Mort, devant laquelle tous redeviennent égaux ?

Alors on tente d’échapper à la terreur, au froid, à l’épuisement et surtout à la folie… Et chacun de se raccrocher à ce qu’il a de plus intime et à sa propre culture. Et chacun aussi de reconnaître en l’autre, son frère d’arme, son alter ego, dans une humanité refondée.

C’est l’histoire d’une rencontre entre les cultures d’Afrique, des Antilles-Guyane et d’Europe, qui n’a peut-être pas eu lieu, au milieu de l’horreur de la guerre, où danse et musique s’imposent comme seules échappatoires.

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